L’essentiel de la Roumanie

Du 16 au 28 septembre 2017

  13 jours/12 nuits

La Roumanie qui depuis la chute de Ceaușescu, a vu une dizaine de traditions, sites et monuments roumains classés par l’Unesco est un pays mystérieux et méconnu, où les merveilles encore préservées du tourisme de masse ne demandent qu’à être découvertes. C’est dans la nature intacte des Carpates et du Delta du Danube, dans la sérénité des monastères de Bucovine et des Maramures que la Roumanie dévoile les secrets de son authenticité. La magie de ce pays réside aussi dans ses nombreuses légendes, dont celle du prince Vlad Tepes, plus connu sous le nom de Dracula. L’histoire du pays est tourmentée, marquée par l’occupation ottomane ou par la démesure d’un dictateur. Les villages reculés et les châteaux médiévaux, la campagne bucolique et les forêts profondes peuplées de loups et d’ours, les monastères fascinants et une population francophile à la gentillesse hors du commun.

Se rendre en Roumanie, c'est arpenter vallées et collines à la recherche de perles rares. Comment ne pas être émerveillé à la vue des célèbres monastères de Bucovine en Moldavie avec leurs fresques colorées ? Véritables joyaux de l'art mondial, ils sont inscrits au patrimoine de l'Unesco. D'innombrables lieux de culte de religions diverses parsèment un pays charnière, à la jonction des Europe orientale, méridionale et centrale. C'est donc un îlot d'origine latine qui se cache dans l'océan des pays slaves. Mais la Roumanie est bien plus que cela.

16 SEP 17 : BRUXELLES - BUCHAREST

Depart de Bruxelles 10h20, arrivée à Bucharest à 14h.  

Accueil et tour panoramique en ville comprenant l’Arc de Triomphe, la Place Victoria, la Voie Victoria, Place de la Révolution pour admirer tous les monuments historiques, le Palais du Parlement (quelques arrêts photos en route).

Installation à l’Hotel Opera 3* http://www.hotelopera.ro/about-us/

Diner dans un restaurant local.

17 SEP 17 : BUCHAREST - SUCEAVA (vol intérieur)

La ville de Bucarest est mentionnée pour la première fois en 1459 comme marché fortifié au carrefour des routes commerciales entre Târgoviște, alors capitale de la Valachie, Brașov en Transylvanie, et le port de San-Giorgio fondé par les génois sur le Danube. Ce marché s'est rapidement développé et, au XVII^e siècle, il devient la capitale de la principauté de Valachie, puis, en 1859, de la Roumanie.

De la ville d'architecture médiévale, la plupart des édifices qui ont survécu jusqu'à l'époque moderne a été détruit pendant le régime communiste avec le processus de systématisation commencé à la suite du séisme de 1977. Certains édifices médiévaux et de la Renaissance ont été conservés, les plus notables sont dans la zone Lipscani. Ce quartier contient des édifices remarquables tels que Hanul lui Manuc et les ruines de Curtea Veche À la fin du Moyen Âge ce quartier était le cœur du commerce à Bucarest. Dès les années 1970, la zone a connu le déclin urbain, et de nombreux bâtiments historiques sont tombés en ruine. En 2005, la zone Lipscani a été rendue piétonne et est depuis en cours de restauration.

Le centre-ville a conservé l'architecture de la fin du XIX^e siècle et début du XX^e siècle, et en particulier de la période d'entre-deux-guerres, qui est souvent considérée comme l'« âge d'or » de l'architecture de Bucarest. Ce matin visite de Bucarest : Visite du Patriarcat roumain, visite à pied du centre historique (rue Lipscani, église Stavropoleos etc)

Déjeuner

Visite de l’Athénée Roumain : L'édifice a été construit par le Français Albert Galleron et a été inauguré le 26 février 1988. Réputé pour son acoustique quasi-parfaite, l'Athénée est le lieu des plus grands évènements culturels de la capitale roumaine. Le somptueux bâtiment vaut le coup d'être visité en entier,

Visite du Musée National d’Art : Le Musée national d’art de la Roumanie étale la plus importante et collection d’œuvres des beaux-arts du pays. Il a été établi dans l’ancien Palais Royal de Bucarest, un édifice historique qui remonte à 1837. Le patrimoine artistique du musée est partagé en deux galeries, la Galerie nationale et la Galerie d’art européen. La Galerie nationale présente des œuvres par des artistes roumains et une collection de sculptures par Constantin Brancusi, peut-être l’artiste le plus fameux qui a été né en Roumanie et qui a eu une contribution ferme à l’histoire de l’art international. La Galerie d’art européen étale des œuvres DE Monet, Rembrandt, Renoir, El Greco, Cézanne et Rubens pour les plus connus.

Diner dans un restaurant près de l’aéroport.

Vol Bucharest Suceava 21.20/22.30

Arrivée et transfert à Gura Humorului et installation pour 3 nuits

Hotel La Conac in Bucovina 4* http://laconacinbucovina.ro/galerie/

18 SEP 17 : Les Monastères de Moldavie et Bucovinie

Bucovinie : Ces monastères constituent l'attraction principale de la Bucovine grâce aux fresques en couleurs vives qui parent les murs de leurs églises. Les fresques représentent des scènes bibliques et d'autres scènes religieuses. Leur style ressemble aux bandes dessinées. A l'origine, elles étaient destinées à exciter l'imagination des hommes et à les éduquer dans l'esprit traditionnel orthodoxe.

Les églises à haut toit pointu sont situées au centre des ensembles monastiques. Les rayons de soleil y pénètrent difficilement. Il y a huit monastères.

Visite du Monastère Voronet (Unesco) : La Chapelle Sixtine de l'Orient. En 1488, Stefan cel Mare (Etienne le Grand) a fait construire cette "Chapelle Sixtine de l'Orient". Ce n’est que plus tard qu'on a couvert les murs du monastère de fresques en couleurs vives. Ainsi, les clairons des archanges prennent les formes des buccins qu'utilisaient les paysans de la région. Les âmes damnées portent des turbans tout comme les ennemis turcs.

Visite du Monastère Humor (Unesco) Le monastère est assez petit. Parmi les peintures qui parent ses murs vous allez découvrir une illustration du poème "La Chute du Constantinople" qui relève les sentiments des Roumains envers les Turcs. Cette peinture avait pour but le maintien de la croyance chrétienne des Roumains. Sur les autres murs vous pouvez admirer "Le retour du fils prodigue", peinture où le diable est représenté humoristiquement sous la forme d'une femme goulue.

 

Il y a des siècles, les moines avaient fondé ici une école où l'on enseignait l'art de la calligraphie et de la miniature.

 

 

Arrêt à Cacica pour voir l’Eglise Catholique

 

Déjeuner à Arbore

Visite du Monastère Arbore (Unesco) Ce monastère assez petit n'est pas pourvu de la haute voûte qui est le trait caractéristique de la majorité des églises, des monastères. La nuance prédominante est le vert. N'oubliez pas d'admirer la scène de la "Genèse" peinte sur le mur situé vers l'Ouest. C'est une scène pleine de grâce et de mouvement.

Visite du Monastère Dragomirna ce monastère-château fort impressionne de prime abord par son aspect de forteresse, dû aux murs et aux tours de défense magnifiquement conservés, qui se reflètent dans les eaux toutes proches. Il fut construit entre 1602 et 1609, autour d'une petite église édifiée quelques années auparavant (Biserica Mică, influencée par l'architecture de Munténie). La grande église (Biserica Mare, 1609), qui suit un plan de croix latine, est particulièrement imposante du fait de la hauteur de ses façades et de sa tour (42 mètres) qui domine l'ensemble. Le monastère lui-même se distingue par ses proportions, la hauteur étant particulièrement excessive par rapport à la largeur. Le parement est en pe brute mais les piliers sont faits de blocs de pierre taillée et façonnée ; la sculpture décorative est composée de gammes de motifs géométriques et végétaux. Les styles moldave, byzantin et de Munténie s'y mêlent. Ses très belles peintures intérieures sont de style byzantin. Les fortifications et les tours de défense ont été édifiées en 1630 par le voïévode Miron Barnovschi. Vous pourrez admirer l'emblème de la région moldave, sculpté dans la pierre sur la tour principale.

Le site fut un centre culturel majeur (copie de textes religieux notamment). Le musée d'Art religieux du monastère présente des objets de culte en bois et en argent ainsi que de superbes livres et manuscrits, dont le Tétraévangile de 1609 enluminé par Anastasie Crimca, à qui le monastère doit son rayonnement culturel.

Retour à l’hôtel, diner et nuit.

19 SEP 17 : Les Monastères de Moldavie et Bucovinie

Visite d’un atelier des œufs peints et rencontre avec une artisane locale Letitia : à Vama, au coeur de la Bucovine, vous êtes invités à découvrir les oeufs peints de Roumanie, un objectif important dans la découverte des traditions de la région et du métier artisanal d’artiste peintre sur oeuf ! Dans l`atelier, Letitia vous expliquera également la signification des symboles de Bucovine !

Visite du Monastere Moldovita (Unesco) Les murs de l'église de ce monastère sont embellis par une monumentale peinture représentant la scène du siège de Constantinople. Les nuances de rouge, bleu, jaune et brun sont extrêmement vives. A l'intérieur de l'église il y a des meubles qui datent du XVIe siècle. Vous pouvez y admirer même le fauteuil du prince Petru Rares, fauteuil dont la dimension est semblable à celle d'un trône. Il y a aussi une statue de ce prince qui a fait édifier le monastère de Moldovita.

Déjeuner à Sucevita

Visite du Monastere Sucevita (Unesco) (Bucovinie) Situé dans une vallée verte d'un pittoresque merveilleux, le monastère de Sucevita est une construction fortifiée comme une citadèle et muni de quatre tours.

Des milliers de peintures parent les murs de l'église. En effet, de tous les monastères, c'est celui de Sucevita qui est ornementé du plus grand nombre des peintures, bien que son mur ouest soit blanc.

Selon la légende, le peintre qui a décoré cette église est tombé de l'échaffaudage et est mort. Ainsi le mur est-il resté blanc. En visitant ce monastère, admirez les scènes peintes sur le mur orienté vers le sud.

Arrêt à Marginea au centre de céramique noire

Retour à l’hôtel, diner et nuit.

20 SEP 17 : GURA HUMORULUI- PIATRA NEAMT (123 Km)

Route vers Piatra Neamt

Visite de la Citadelle Neamt construite sur le plateau de Pleșu, à 480 m d'altitude, aux ruines impressionnantes. Le premier château fut élevé sur les ordres de Petru Ier Mușat en 1395 (quadrilatère fortifié de quatre tours). Un siècle plus tard, Étienne le Grand agrandit le château d'une nouvelle ceinture de murailles et de quatre bastions de défense, de fossés et d'un pont doté de onze piliers et de nombreux bâtiments d'habitation. La citadelle joua un rôle important dans l'histoire de la Moldavie et reste un lieu attirant de nombreux touristes.

Visite du Monastère Agapia, c'est l'un des plus grands de Roumanie ; il est situé à 12 kilomètres sud-est de Târgu-Neamţ et à 43 kilomètres de Piatra-Neamţ, sous la juridiction de l'Archevêché de Iassy. C'est au XVII^-e siècle qu'on a choisi la position actuelle du monastère. Quelques moines qui habitaient l'ermitage ‘La Vieille Agapia’ (située à 2 kilomètres plus haut, sur une colline) sont descendus dans la vallée et y bâtirent une petite église en bois (l'actuelle église du "Saint Jean le Théologien"). Le boyard Gavriil, frère du voïvode moldave Vasile Lupu, et sa femme Liliana, furent les fondateurs de l'église centrale du monastère, dont les saints protecteurs étaient les Saintes Archanges Michel et Gabriel. Le style actuel de l'église des "Saints Archanges" est néo-classique. Le plain architectural de l'église de "Saints Archanges" ressemble tout en gardant les proportions, à celui de l'église des "Trois Hierarches" de Iassy. Le toit est simple, un peu incliné, la coupole ayant une base octogonale comme les autres églises datant de la période de Vasile Lupu, par exemple celle du monastère de Galata.  La résistance des murailles extérieures est augmentée par trois contreforts. La peinture murale d'une inestimable valeur artistique s'ajoute aux autres trésors de l'église, parmi lesquels il y a l'icône de la Sainte Vierge datant du XIV^-e siècle. C'est une icône qui fait des miracles, dont la beauté nous rappelle celle des icônes du mont Athos. Le bâtiment de l'enceinte, avec ses cellules au premier étage, et la tour du clocher datant du temps des fondateurs, fut reconstruit en 1883. Au sud, une petite chapelle dédiée à la Naissance de la Sainte Vierge date de 1847, ses fondateurs étant le Métropolite Veniamin Costachi et sa soeur; son iconostase date à partir du XVIII^-e siècle. L'église du "Saint Jean le Théologien" se trouve au milieu du cimetière; c'est la première église d'Agapia, située au nord.  L'église en bois ressemble à un navire, n'ayant pas de coupole, à la manière de vieilles églises moldaves du XVII^-e et XVIII^-e siècles.  L'église de "l'Assomption de la Sainte Vierge" est située au sud.

Déjeuner à Agapia

 

Visite du Musée d’Art Populaire de Nicolae Popa à Tarpesti

Arrivée à Piatra Neamt, visite du centre-ville

Piatra Neamt est situé dans la région historique de la Moldavie, et est considérée comme l'une des villes les plus pittoresques de la Roumanie en raison de sa situation privilégiée dans les montagnes des Carpates Orientales. La ville est entourée par cinq montagnes, en lui donnant tous les avantages offerts par la nature généreuse et unique. Les traces les plus anciennes de la civilisation humaine sont datées de l'âge de pierre. Le célèbre Culture de Cucuteni (3600-2600 avant JC) est attestée dans la région par un nombre remarquable de colonies et de fouilles archéologiques. Les fouilles à l'extérieur de la ville, a révélé les ruines d'une grande ville dace nommé Petrodava

Diner et nuit à l’Hotel Central Plaza 4*

http://warwickhotels.com/central-plaza/photo-gallery/

21 SEP 17 : PIATRA NEAMT – SIGHISOARA (292 Km)

Route vers la Transylvanie

Arrêt aux Gorges de Bicaz (promenade à pied si les conditions météo le permettent) Découvrez le merveilleux défilé naturel qui unit la Moldavie et la Transylvanie ! Cette spectaculaire attraction touristique de 8 km de long traverse les localités Bicaz-Chei, Bicazu Ardelean, Tasca et Bicaz. Le trajet est formé de serpentins tortueux et les rochers cachent des grottes uniques, comme la Grotte Noire, dont l’entrée a 15 mètres de hauteur.

La Bicaz tire son nom du mot hongrois "beka" signifiant "grenouille", langue dans laquelle elle signifie littéralement petit ruisseau des grenouilles.

Arrêt au Lac Rouge – promenade et déjeuner dans un restaurant local

Le lac Roșu (lac Rouge en français) est un lac de retenue naturel qui s'est formé en 1837 à la suite d'éboulements. Il tire son nom des alluvions rougeâtres déposées, il a une superficie de 11,5 ha, une profondeur de 10 m, une longueur de 2,8 km. Il est situé à 883 m d'altitude.

Arrivée à Sighisoara, tour à pied dans la citadelle. Fondé par des artisans et des marchands allemands, appelés Saxons de Transylvanie, le centre historique de Sighisoara a gardé de manière exemplaire les caractéristiques d’une petite ville médiévale fortifiée qui a eu pendant plusieurs siècles un rôle stratégique et commercial notable aux confins de l’Europe centrale.

Diner et nuit à l’Hotel Casa Wagner 3* à Sighisoara.

http://www.casa-wagner.com/ro/home-sighisoara/

22 SEP 17 : SIGHISOARA – SIBIU (95 Km)

Sighisoara est un témoignage remarquable de la culture des Saxons de Transylvanie, culture qui s’achève après 850 années d’existence et qui ne perdurera plus que par ses monuments architecturaux et urbains. Elle est également un exemple remarquable de petite ville fortifiée dans la région qui marque la frontière entre la culture latine de l’Europe centrale et la culture byzantine orthodoxe de l’Europe du sud-est. Le processus d’émigration des Saxons, apparemment impossible à endiguer, la disparition des couches sociales qui formaient et maintenaient les traditions culturelles de la région, tout cela menace également la survie de leur patrimoine architectural.(sic Unesco)

Visite de l’Eglise fortifiée Biertan : située sur une colline dans la commune de Biertan, cette église fortifiée garde encore le style gothique flamboyant de l’époque où elle a été bâtie (fin du XVème siècle – début du XVIème siècle). En entrant dans l’église, vous serez fascinés par l’autel, avec ses 28 peintures magnifiques illustrant des scènes de la vie de Jésus.

Visite du centre historique de Medias : La ville se situe sur le cours de Târnava Mare, à 39 km de Sighișoara, 41 km de Blaj et 55 km de Sibiu.

La ville fut fondée à la fin du XII^e siècle, voire au début du XIII^e siècle par des colons allemands invités par plusieurs rois de la Hongrie. Jusqu'au XVI^e siècle Mediaș se développa dans un important centre commercial, politique et culturel. La première église roumaine de la ville fut édifiée en 1826 par l'évêque grec-catholique Ioan Bob, qui y fonda aussi la première école de langue roumaine. La ville se trouve au centre d'une réputée région viticole.

Route vers Cetatea de Baltă, château rectangulaire construit dans le style Renaissance française. Le domaine produit une grande partie des millions de bouteilles de vin mousseux de Jidvei. Visite avec dégustation de vins. Le vignoble de Jidvei est le symbole de l'équilibre entre acidité, alcool et arômes, évoquant la forte odeur de résine de sapin, de fleurs de tilleul et la douceur du miel d'acacia. Les caves ont reçu plus de 100 médailles d'or lors de concours nationaux et internationaux.

Continuation pour Sibiu, tour à pied dans le centre historique : C'est en se promenant à Sibius, dans la ville haute et la ville basse, qu'on appréciera les caractéristiques de cette cité médiévale : passages voutés, portes fortifiées, dédale de ruelles et de places à en perdre le nord. Cette cité baroque aux façades colorées, qualifiée de « Petite Vienne », est indéniablement la plus belle ville de Roumanie.

La ville de Sibiu et ses environs sont assurément parmi les lieux les plus visités de toute la Roumanie. Elle est, à juste titre, considérée comme une des villes historiques les plus belles et les mieux préservées, non seulement de toute la Roumanie, mais aussi d’Europe. La vieille cité fortifiée de Hermannstadt fut épargnée par la Seconde Guerre mondiale, et, miraculeusement, échappa aux malencontreuses interventions urbanistiques du régime de Ceaușescu (sans doute était-elle jugée trop petite pour servir de vitrine du communisme, et de plus, le fils du Conducătore, Nicolae 'Nicu' Ceaușescu, avait des responsabilités dans la ville et aimait à y séjourner) ^[Sibiu offre, sur une superficie totale ne dépassant pas les 80 hectares, une riche palette de monuments de l’architecture médiévale, Renaissance et baroque, et a su conserver l’esprit et l’atmosphère des siècles révolus. Le centre historique est depuis 2004 en instance de reconnaissance par l’UNESCO au titre de patrimoine mondial.

À l’angle Nord-Ouest de la Grand Place se dresse le palais Brukenthal, un des monuments baroques les plus importants de Roumanie. Érigé entre 1777 et 1787, il servit de résidence principale au gouverneur de Transylvanie, Samuel von Brukenthal. Féru d'art, il constitua une belle collection de peintures Renaissance et baroques (écoles flamande, hollandaise, allemande). Le musée présente aussi des œuvres d'art roumain et transylvain : paysages de Sibiu de Johann Böbel (1824-1887), peinture moderne des artistes de Baia Mare, abstraction avec Hans Mattis-Teutsch. Actuellement, il héberge la majeure partie du fonds du musée national Brukenthal. Fondé en 1817, il fête cette année son bicentenaire.

Visite du Musée de Brukenthal.

Diner dans un restaurant local.

Nuit à l’Hotel Imparatul Romanilor 3* http://sibiu.imparatulromanilor.ro/galerie-foto.html

23 SEP 17 : SIBIU – ALBA IULIA –SIBIU (150 Km)

Visite de la citadelle Calnic : le village de Calnic conserve encore l’architecture paysanne et les traditions rurales ancestrales. La citadelle de Calnic a été conçue comme un donjon rectangulaire, par le noble Kelling au XIII e siècle elle a été longtemps la résidence des nobles Saxons. La chapelle de la citadelle conserve des fragments des fresques du XVI e siècle…

Arrivée à Alba Iulia et découverte de la citadelle de type Vauban.

Située aux pieds des Monts Apuseni et des Carpates Méridionales, cette ville est sans doute l'une des plus anciennes de Roumanie. Localité importante sous et même avant l'occupation romaine ayant le nom d'Apulum, la ville a été, par la suite de l'évolution historique, le siège des premiers archevêchés fondés au début du 11^e siècle, la capitale de la Principauté de Transylvanie (du 16^e au 18^e siècle) et un des centres de l'administration autrichienne (du 18^e au 19^e siècle) du Grand-duché de Transylvanie faisant partie de l'Empire des Habsbourgs.

Déjeuner dans un restaurant local.

Retour à Sibiu, arrêt en route dans le village de Sibiel : Sibiel possède le riche héritage de l’âme authentique d’un village typique de Transylvanie. Sa position géographique, exactement au centre de la Roumanie, en fait en outre une base d’un intérêt logistique garanti pour visiter également d’autres centres importants de la Transylvanie. Dans ce village qui jusqu’à la moitié du siècle dernier a vécu de l’élevage et de la culture des arbres fruitiers, un important rôle religieux et culturel a été joué à partir du XVI° siècle par le Monastère situé à environ 5 kilomètres de Sibiel (Chilii), avec son école.

La peinture sur verre est une technique millénaire, introduite en Transylvanie après l’annexion à l’Empire des Habsbourg (1699). Son extraordinaire et massive diffusion fit suite au miracle survenu à Nicula, un village du Nord de la Transylvanie, où le 15 Février 1694 (ou bien 1699) des larmes se seraient écoulées, pendant 26 jours, sur le visage de la Vierge à l’Enfant, représentée sur une icône en bois de l’église de Nicula. L’événement miraculeux transforma le village en une destination de grands pèlerinages, à cette occasion les pèlerins ayant le désir d’emporter dans leurs maisons une image de la Vierge. C’est ainsi que l’icône a été intégrée dans le culte domestique des paysans roumains. Visite du Musée des Icones Peintes sur verre.

Diner chez l’habitant.

Retour à l’hôtel.

24 SEP 17 : SIBIU – FAGARAS – BRAN - BRASOV (170 Km)

Route pour Brasov avec arrêt en cours de route à Fagaras et visite de la forteresse : La construction de cette forteresse fut initiée en 1310 sur les lieux d'une citadelle plus ancienne, faite de terre et de bois. A cette époque l'objectif était de protéger la Transylvanie Méridionnale des éventuelles attaques ottomanes et tatares. Le château fort de Făgăraș est le principal objectif touristique de la ville.

Sa construction a commencé vers la fin du XIV^e siècle, sur la place d’une forteresse de terre datant du XII^e siècle. Au 16ème siècle, le voïvode Stefan Mailat décida de la transformation de la citadelle. Le système de défense fut alors consolidé, ce qui n'empêcha pas la citadelle de tomber aux mains ottomanes et de Mustafa Pasa en 1541. La forteresse fut par la suite aux mains de différents voïvodes et princes de Transylvanie. Elle devint d'ailleurs au 17ème siècle le siège de la Principauté de Transylvanie avant de tomber aux mains des Hasbourgs.

Entre les deux guerres mondiales, le château a servi de garnison militaire et, pendant la première partie de l’époque communiste, jusqu’en 1964 notamment, le château était transformé en prison. À présent, le château de Făgăraș abrite le Musée du Pays de Făgăraș, la bibliothèque municipale, un restaurant.

Continuation vers Bran.

Déjeuner dans un restaurant local suivi de la visite du château de Bran.

Le château de Bran, entre mythes et légendes … le château de Dracula est situé à 30 km de Brașov en Transylvanie, c’est un monument historique classé et un haut lieu touristique de Roumanie.

Bâti sur un rocher, le château abrite actuellement un musée qui s’étend sur les quatre étages ouverts au public. Et bien que les touristes étrangers viennent chaque année, attirés par la légende du comte Dracula, et que le guide n’hésite pas à mettre l’accent sur le côté mythique de la bâtisse, l’histoire vraie du château de Bran suffit à enthousiasmer.

Le château de Bran est mentionné pour la première fois dans un document officiel le 19 novembre 1377. Le roi de Hongrie, Louis Ier d’Anjou, accorde alors aux habitants de Braşov le privilège de construire une citadelle de pierre sur le rocher qui porte le même nom. A la fin du XVIe siècle, le château est placé sous l’autorité des Sicules (population de Transylvanie de langue magyare), puis rattaché à la Transylvanie sous le règne de Iancu de Hunedoara. Ses liens de la forteresse avec Vlad Ţepeş datent de la même époque, lorsque le prince de Valachie est chargé de défendre la passe donnant accès à la Transylvanie. Le 1er décembre 1920, le conseil de la ville de Braşov fait don du château à la reine Marie de Roumanie, en signe de gratitude pour sa contribution à l’union des principautés roumaines en1918. Le château est restauré entre 1920 et 1927, sous la direction de l’architecte de la cour, Karel Liman. Du temps de la reine Marie, le château de Bran connaît son heure de gloire : il est l’une des résidences favorites de Sa Majesté. On raconte même que le cœur de la reine Marie est resté enterré quelque temps à Bran avant d’être déposé dans sa résidence de Baltchik, en Bulgarie.

La fille de la reine Marie, la princesse Ileana, hérite du château en 1938. Mais, en 1948, la famille royale     est expulsée du pays par le régime communiste. Bran devint propriété de l’Etat roumain, qui le transforme en musée d’histoire et d’art féodal. L’état de délabrement avancé du château entraîne sa fermeture en 1987. Il n’est rouvert au public qu’en 1993, après restauration. Actuellement, le château est la propriété de l’héritier de la princesse Ileana, un dentiste d’origine américaine, Dominique de Habsbourg.

Le mythe du comte Dracula vient du rom an de l’écrivain irlandais Bram Stoker, publié au Royaume-Uni en 1897. Les personnages sont nés de l’imagination de l’auteur, mais l’essentiel de la trame narrative est issue des croyances populaires sur les forces du mal, tels les vampires ou les revenants. Le voïvode [comte] de Valachie, Vlad Ţepeş, a été associé à Dracula, bien que les données historiques ne confirment pas qu’il ait séjourné longuement au château de Bran. Et pou rtant, le site est promu à travers le mythe du vampire qui se nourrit du sang de ses ennemis. C’est l’une des raisons pour lesquelles le château de Bran fut classé par des journalistes de CNN parmi les dix plus beaux châteaux médiévaux.

Le château est redevenu la propriété des Habsbourg, comme il l'avait déjà été avant 1918, au temps de l'Autriche-Hongrie, mais le premier château a été construit par les chevaliers Teutoniques au début du 13^e siècle bien avant la dynastie habsbourgeoise.

Continuation sur Brasov et tour de ville.

En plein cœur de la Roumanie se trouve Brasov, harmonieux mélange du charme traditionnel et de la vie moderne en ville. Elle est dans la région de Transylvanie, entourée par les montagnes des Carpates. Autour de Brasov, il y a plusieurs stations de ski. C’est un endroit qui a un superbe centre historique. Elle est historiquement une fondation saxonne. Sa forteresse, construite sous le règne d’Étienne I^er de Hongrie au début du XI^e siècle, a été concédée par son successeur André II en 1211 à l’Ordre Teutonique comme fief de l’ordre avec un ensemble de fortifications puissantes afin de limiter l’effet destructeur des invasions mongoles et tatares venues de l’actuel territoire de l’Ukraine.

Après ces invasions, l’ordre se déplaça au nord de l’Europe et la ville continua à se développer avec une population allemande importante et une population roumaine minoritaire jusqu’au début du XX^e siècle.

Tour de ville pour vous orienter et voir les sites défiler. C’est à Brasov que se trouve la rue la plus étroite d’Europe : la rue de la Ficelle (Strada Sforii).

Diner dans un restaurant local

Nuit à l’Hotel Casa Wagner 3*

http://www.casa-wagner.com/en/home-brasov/

25 SEP 17 : BRASOV- PREJMER – SINAIA - PLOIESTI (107 Km)

Situé à une dizaine de kilomètres de Brasov, nous nous arrêtons à Prejmer, ville classé au patrimoine mondial de l’Unesco depuis 1999 pour visiter l’église fortifiée. Inscrite également sur la liste du patrimoine mondial de l’Unesco, l’église gothique de Prejmer est l’une des églises les mieux conservées d’Europe. Elle est entourée par des murs d’environ 4 mètres de large et 12 mètres de hauteur. L’église fut fondée par les Saxons et les chevaliers Teutons au 13ème siècle. son style particulier, son état de conservation presque parfait, sa splendeur, sa force… tout cela forme son caractère impressionnant.

L’église est composée de deux enceintes dissociées par des murs très épais et des passages étroits clôturés de herses solides. Elle n’a jamais été prise et on comprend pourquoi.

Prejmer a évolué au fur à mesure des attaques. Elle a su protéger le peuple roumain contre les attaques tatares, puis turques. Et c’est bien dommage pour eux, car en son enceinte se cachait un vrai trésor ; toutes les provisions des récoltes paysannes. Ceux-ci les attendaient de pied ferme .. À l’approche de l’ennemi, les cloches de l’église battaient à tout rompre. En plus de sa s uperbe caractéristique défensive, les paysans avaient inventé une arme assez efficace qu’ils avaient baptisé « l’orgue de la mort ». Ils avaient fixé sur une planche en bois 5 fusils, criblant ainsi les ennemis à portée du chemin de ronde.

 Vers 1211, Andrei II, roi de Hongrie, offre aux teutons (allemands) la ville de Prejmer, alors appelée « Tarlan ». Ceux-ci sont chassés en 1225, mais l’église n’est pas abandonnée, elle est même développée sous un style gothique bou rguignon. La tour et l’enceinte ont été bâties en 1461.

La fortification viendra plus tard ; les murs bâtis sont épais de presque 3 mètres et hauts de 12, c’est énorme ! Ces murs sont flanqué s de meurtrières et mâchicoulis et de deux bastions pour le rempart de l’église. Dans ces fortifications se trouvent les chambres de chaque paysan, numérotées pour s’y retrouver entre toutes les familles. Il y en a presque 275, reliées par des échafaudages en bois encore solides.

La visiter, c’est un vrai plaisir, beaucoup de petits passages, petites salles à découvrir. L’église Prejmer est cerclée d’un jardin paisible où poussent quelques arbres. L’intérieur de l’église Prejmer est sobre, mais assez vaste.

Continuation vers Sinaia, qui est à 60 km de Prejmer, et visite du Monastère Sinaia.

Sinaia, à juste titre surnommée la perle des Carpates grâce à ses beautés naturelles et architecturales, est une ville située dans la vallée de la Prahova, ancienne destination d’été de la cour royale. Les plus importantes attractions de la ville sont le château de Peles, Pelisor et le monastère de Sinaia, auxquels s’ajoutent des paysages mémorables.

Grâce à sa situation géographique au pied des monts Bucegi, dans la vallée de la Prahova, Sinaia est aujourd'hui une station de ski très fréquentée. L'engouement des Bucarestois pour Sinaia remonte au tournant du 20^e s., lorsque dans le sillage du roi Carol I^er qui fit bâtir le château de Peles les aristocrates élevèrent villas et chalets. Le château n’est pas ouvert tous les jours et nous ne visiterons donc pas le château mais le monastère de Sinaia qui est composé de 2 églises.

Ce monastère, à l'allure de forteresse, se fond dans la nature environnante. Il fut érigé à la fin du 17^e s. par le prince de Munténie Mihail Cantacuzino, alors poursuivi par les Ottomans. Les deux églises sont chacune disposée dans une cour. La plus grande (1846 et 1903), Biserica Mare, est dotée en façade d'une cordelière ouvragée propre au style brancovien. La seconde église (1695), plus petite, se distingue par un beau portail peint et des colonnes ouvragées.

A 11 km de là, dans la Vallée de Prahova, à Busteni, se cache le château Cantacuzino et il reste méconnu malgré ce qu’il peut nous offrir. Un monument historique digne d’intérêt. Le château Cantacuzino se trouve à l’emplacement d’une ancienne maison de chasse, qui existait depuis le 18^ème siècle, et qui a servi d’escale à la famille Cantacuzino, dont certains membres étaient Caïmacan de la Wallachie (dignitaire de province au service de l’empire ottoman).

Le château a finalement été construit en 1911 pour le prince Gheorge Grigore Cantacuzino, premier ministre de Roumanie entre 1899-1900 et 1904-1907. La salle de réception possède une grande collection de blasons et armoiries, le reste des décorations donne une ambiance romantique, rien que par les vitraux, les plafonds peints et les mobiliers en bois massifs.

Le château est de style néo-roumain, héritage d’une architecture que la Roumanie a su dompter ; façades en pierres taillées, forme quadrilatère. L’ensemble du domaine, à titre informatif, possède plus de 970 ha, principalement des forêts.

Nous poursuivons notre route jusqu’à Ploiesti au jusqu’au Conacul Domnitei Ralu Cet hôtel boutique se situe au milieu d’un vignoble et en dehors du fait que nous y logerons, nous aurons également l’occasion de faire une dégustation de vins. Ce manoir possède une piscine extérieure.

Diner et nuitée.

26 SEP 17 : PLOIESTI – TULCEA - DELTA DU DANUBE (300 KM)

Ce matin, nous entamons la dernière partie du voyage avec la route pour le Delta du Danube.

Le Danube est le deuxième fleuve d’Europe par sa longueur (après la Volga qui coule entièrement en Russie). Il prend sa source dans la Forêt-Noire en Allemagne, lorsque deux cours d’eau, la Brigach et la Breg, se rencontrent à Donaueschingen où le fleuve prend le nom de Danube. La longueur du Danube dépend du point de départ considéré : 2.852 km pour la confluence de Donaueschingen mais 3.019 km à partir de la source de la Breg.

Il coule vers l’est et baigne plusieurs capitales de l’Europe centrale, orientale et méridionale : Vienne, Bratislava, Budapest et Belgrade. Le delta du Danube s'ouvre sur la mer Noire partagée entre la Roumanie et l'Ukraine,

Sur le territoire roumain, le Danube traverse 1075 km en délimitant la frontière du sud du pays. Le plus intéressant secteur du Danube est celui qui sépare le fleuve en 3 bras avant de verser dans la Mer Noir qui forme le Delta. Le Delta couvre une surface de 2681 km² et représente une région avec plus de 1200 espèces d’arbres et de plantes et la faune ornithologique la plus riche du continent. Plus de 300 espèces. En 1990 l’Unesco a inclus le Delta du Danube dans les Réserves Mondiales de la Biosphère. Une végétation sauvage, un labyrinthe de canaux, de lacs, de dunes de sable, et d’infinis couloirs de roseaux.

C’est le paradis des plantes grimpantes, des lianes et des plantes sauvages. La surface d’eau est couverte de nénuphars blancs et jaunes. Dans ce monde à part, les couleurs changent selon les saisons et les heures de la journée. L’environnement est très vivant, par-dessus le delta, passent 6 trajets d’oiseaux migrateurs. Se trouvant à la moitié de la distance entre Equateur et Pôle Nord formant ainsi un lieu naturel pour l’arrêt des oiseaux migrateurs.

Arrivée à Tulcea , déjeuner et visite du Musée du Delta : Un musée contemporain présentant la faune, la flore et les spécificités environnementales du delta du Danube avec salles de projection video, salles de conférence et aquariums.

Après la visite, nous poursuivons jusqu’à notre hôtel situé à Mahmudia : l'hôtel Mon Jardin est installé au milieu du delta du Danube à 30 km de Tulcea. Cet hôtel de 40 chambres possède une piscine extérieure.

Hotel Mon Jardin 4* (2 nuits) http://hotelmonjardin.ro/demo/ro/galerie/

Diner à l’hôtel.

27 SEP 17 : DELTA DU DANUBE (Unesco)

Le delta renferme 35 écosystèmes, avec plusieurs milliers d'espèces végétales et animales, ce qui lui vaut d'être classé à l'Unesco. Nous passerons la journée sur un bateau pour une croisière sur les lacs et les canaux à la découverte des paysages ainsi que de la faune ornithologique et des espèces végétales.

Départ 09.30 et retour vers environ 17.30 ; déjeuner avec plats typiques à base poisson.

Diner et nuit à l’hôtel.

28 SEP 17 : DELTA DU DANUBE- BUCAREST (300 km) – BRUXELLES

Petit déjeuner et départ matinal pour Bucarest pour le vol de retour 16h50 vers Bruxelles.

Déjeuner en route.

Vol à 16h50 avec arrivée 18h40 à Bruxelles

 

 

TARIF : Prix par personne sur base d’une chambre double

1.935 € par personne sur base de 10 à 13 personnes

1.783 € par personne sur base de 14 à 18 personnes

1.655 € par personne sur base de 19 à 20 personnes

+ 267 € par personne supplément single.

Sont compris :

• Les vols Bruxelles – Bucarest aller/retour avec Tarom

• Le vol intérieur Bucarest - Suceava avec Tarom

• Toutes les visites et services mentionnés dans le programme

• Tous les transferts et transports sur base d’un bus climatisé

• Toutes les visites mentionnées au programme

• La pension complète du diner du jour 1 au petit déjeuner du jour 13

• L’assistance de notre correspondant

• Les services d’un guide local parlant le français

• Les pourboires

• Le fascicule d’information sur la Roumanie et votre voyage

• Les taxes d’aéroport (51,70 € 10/12/16)

• Les taxes applicables (TVA, taxes aéroports, taxes de sécurité…)

  Ne sont pas compris :

• Les boissons et dépenses personnelles.

• Les taxes locales éventuelles sur les appareils vidéo et caméras

• Le supplément éventuel sur le fuel de la compagnie aérienne au moment de l’émission des billets d’avion

• L’augmentation éventuelle des taxes d’aéroport au moment de l’émission des billets d’avion

  Formalités : Passeport ou carte d’identité valide pour les membres de l’UE

  Les conditions générales de voyage de la Commissions des Litiges sont d’applications.

  Conditions de réservation :

• Remplir le formulaire d’inscription

• Paiement de l’acompte de 500 € (par personne) sur le compte BE78 4427 0505 0186 avec en communication la mention ‘Winr070 2017’